Selon l’American Bar Association’s Standing Committee on Lawyers’ Professional Liability (Le Comité permanent de responsabilité professionnelle des juristes de l’Association du barreau américain) , près de la moitié des réclamations annuelles proviennent d’erreurs de base du fait de ne pas bien connaître la loi, de ne pas bien l’appliquer, ou de ne pas connaître les dates de tombées ou les délais de prescription légale. Dans son billet intitulé : Managing the Risk that Comes from Bad Lawyering, (Gérer le risque associé à la mauvaise pratique légale) Mark Bassingtwhaite écrit : D’un point de vue de gestion du risque, ces erreurs sont bien plus difficiles à traiter puisqu’elles sont issues des capacités - ou du manque de capacités - du juriste; il ne s’agit pas simplement d’erreurs reliées aux pratiques et procédures. Bien qu’un gestionnaire de risque puisse aider un juriste à développer un système d’agenda plus efficace ou à améliorer les processus de documentation, il est bien plus difficile d’adresser le problème réel qui s’avère souvent être tout simplement un cas de mauvaise pratique juridique. Il poursuit en traçant les grandes lignes de quelques trucs pratiques pour aider les cabinets juridiques et les juristes à gérer ces risques particuliers. L'Association d'Assurance des Juristes Canadiens fournit de l'information sur la prévention des pertes uniquement destinée aux juristes qui sont assurés par l'AAJC. Le contenu et les liens fournis dans les eBytes de Prévention des Pertes sont des ressources destinées aux juristes qualifiés faisant preuve d'égard et de bon jugement professionnel pour adapter ou faire usage de toute information présentée sur ce site.
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